Vies 2
Champs de blé
surplombant la clairière,
D'une teinte doré,
le soleil vous éclaire
et le vent doucement,
fait valser et danser,
d'un simple soufflement,
vos tiges desséchées.
Puis l'orage gronde,
au dessus des prairies,
amenant avec lui
la furie de ce monde.
Et les mulots s'enfuient
et les arbres crépitent,
sous l'assaut de petites
gouttelettes de pluies.
Un combat infini,
disputé ardemment,
par la pluie, le beau temps
pour amener la vie.
très agréable à lire aussi ce poème.
eh oui combat infini au coeur du temps, entre le soleil et la pluie
à chacun leurs instants ciel bleu ou gris.
A+