La Valse du Temps
Comme une drogue, elle nous emmène si loin,
À la recherche d'une dose, le regard éteint.
Des souvenirs, des visages et puis plus rien,
Comme un rêve, effacé au petit matin.
À quoi bon vouloir courir le monde et se perdre,
À la quête d'illusions, de mirages et de mystères.
À la recherche de soi-même surtout ;
Comprendre ces pensées incessantes qui rendent fou.
De villes en villes, on rencontre des sourires,
Des amours, et on valse, entre la tristesse et le rire.
C'est la danse des voyageurs, qui ne s'éteint pas,
Tout comme la flamme qui guide nos pas.
Quand les contraires se rencontrent et se mélangent,
Quand les émotions et les larmes nous submergent,
Pour nous rappeler les souvenirs passés et,
La joie d'être dans les bras d'un être aimé.
Alors le soir, lorsque tout le monde dort, s'ouvre le coffre.
S'échappent alors les souvenirs de ces moments passés,
Que seul nous, pouvons admirer, encore et encore.
Et ce film, personne ne pourra jamais nous l'enlever.
Comme une drogue, elle nous emmène si loin,
À la recherche d'une dose, le regard éteint.
Des souvenirs, des visages et puis plus rien,
Comme un rêve, effacé au petit matin.
À quoi bon vouloir courir le monde et se perdre,
À la quête d'illusions, de mirages et de mystères.
À la recherche de soi-même surtout ;
Comprendre ces pensées incessantes qui rendent fou.
De villes en villes, on rencontre des sourires,
Des amours, et on valse, entre la tristesse et le rire.
C'est la danse des voyageurs, qui ne s'éteint pas,
Tout comme la flamme qui guide nos pas.
Quand les contraires se rencontrent et se mélangent,
Quand les émotions et les larmes nous submergent,
Pour nous rappeler les souvenirs passés et,
La joie d'être dans les bras d'un être aimé.
Alors le soir, lorsque tout le monde dort, s'ouvre le coffre.
S'échappent alors les souvenirs de ces moments passés,
Que seul nous, pouvons admirer, encore et encore.
Et ce film, personne ne pourra jamais nous l'enlever.