A l'infini
Tout ces cris qui m'échappent,
ils valsent et courent tout doucement
le long d'étroits murs, ne s'arrêtant jamais
et dispersent leurs plaintes maladives,
à qui les veux.
Tout ces feuilles jaunes, qui s'envolent
et disparaissent, par delà les montagnes,
elles quittent tristement, par ma fautes,
ce vieil arbres, qui les a vu naître.
La vie semble me fuir, s'échappant au loin,
quand je tente de l'amadouer,
et j'en reste pantois,
comme si finalement je n'étais pas fait pour elle.
Pourtant cette lueur, cet instinct,
qui fait que l'on doit survivre pour une cause,
se réveille, soudain, pour nous rappeler
que nous ne sommes pas seul sur Terre.
amicalement
Claude